Défendre la terre - Protéger l'avenir
Alors tu pensais qu'on avait fait des progrès ? Nous aussi!
Mais le gouvernement provincial poursuit ses attaques contre l’environnement de l’Ontario.
Maintenant avec Projet de loi C-212, Le gouvernement Ford a créé une porte dérobée pour développer la ceinture verte.
Les points saillants du projet de loi C-212, Loi de 2024 visant à réduire l’engorgement routier et à vous faire gagner du temps, comprennent :
- Loi de 2024 sur la construction plus rapide des autoroutes — L'objectif de la Loi est d'accélérer la construction des projets routiers prioritaires, qui, tels que définis dans la Loi, sont le projet de l'autoroute 413, le projet de contournement de Bradford, le projet de jumelage du pont Garden City Skyway et tout autre projet prescrit par règlement.
- Loi sur les autoroutes 413, 2024 — prévoit une exemption à la Loi sur l’évaluation environnementale pour les entreprises, les activités, les propositions, les plans et les programmes relatifs à l’autoroute 413 ou liés à celle-ci.
- Modification au Code de la route — les municipalités doivent obtenir l’approbation du ministère avant de pouvoir construire des pistes cyclables dans certaines circonstances (c’est ce qui fait l’actualité !)
Vérifier Article de blog de Tim Gray à propos du projet de loi C212 sur le site Web de Environmental Defence.
“Comment Le nouveau projet de loi de l'Ontario accélère sur l'autoroute 413 et freine les pistes cyclables" Emma McIntosh dans le film Narval
Inscrivez-vous pour vous impliquer et rester informé des prochaines étapes pour arrêter le projet de loi C212.
Vérifier Carte de la défense environnementale des zones menacées.
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Pourquoi nous défendons la terre
Perte de terres agricoles
L'Ontario a perdu certaines des meilleures terres agricoles du monde au cours du siècle dernier, et nous continuent de perdre plus de 319 acres par jour – nos terres agricoles sont utilisées pour créer des centres commerciaux, des autoroutes et des banlieues. Aujourd'hui, plus de 37 600 acres de terres auparavant protégées sont menacées par le développement (qui pourrait nourrir jusqu'à 80 000 personnes par an en fonction des choix alimentaires).
Changement climatique
Nous devons réduire considérablement nos émissions de carbone de 50% d'ici 2030 et parvenir à zéro net d'ici 2050 pour avoir une chance d'éviter un changement climatique catastrophique. L'étalement des banlieues augmente les émissions de carbone en augmentant l'utilisation de la voiture, en diminuant les transports en commun et la quantité d'énergie nécessaire pour chauffer et refroidir ces grandes maisons individuelles (qui sont moins éconergétiques que la densification).
De plus, la terre est un puits de carbone, qui aide à réguler la température de la planète et à stocker le carbone. Au cours des 10 dernières années, «les écosystèmes terrestres ont absorbé environ 30 % des émissions de carbone générées par les activités humaines, telles que la combustion de combustibles fossiles. — nous devons donc protéger la terre contre le développement.
Inondations et impacts environnementaux
Les terres protégées de la Ceinture de verdure et les offices de protection de la nature ont été établis principalement pour protéger les Ontariens contre les risques d'inondation. Avec les récents changements législatifs et l'ouverture de ces zones au développement, davantage d'inondations sont garanties. L'étalement des banlieues dû au développement ultérieur augmentera également la pollution de l'air due à l'utilisation de la voiture et à l'utilisation du gaz naturel pour chauffer les maisons. Déjà, la pollution de l'air contribue à la perte de 6 600 Ontariens chaque année.
La sécurité alimentaire
Notre partie du monde, dans la biorégion des Grands Lacs, sera un refuge climatique, ce qui signifie que nous serons à l'abri des pires effets météorologiques graves du changement climatique. Alors que d'autres parties du monde sont confrontées au changement climatique et perdent leur capacité à cultiver facilement - ou pas du tout - nous devons être en mesure de nourrir les gens. Nous devons préserver nos terres agricoles, et plutôt que de soutenir les marges bénéficiaires des développeurs, nous devons soutenir la culture de nourriture pour nos semblables.
Des impôts plus élevés
La construction et l'entretien des infrastructures nécessaires à un développement tentaculaire coûteront très cher. L'Association des municipalités de l'Ontario (AMO) estime qu'il en coûtera plus de $5 milliards au cours de la prochaine décennie, payé par le contribuable.